Marcel Ghigny
Entrez dans le monde du Théââââtre et de l'imaginaire!
J’y suis entré et Clara m’a accueilli. Clara, c’est le nom de la roulotte de Pedro. Avec elle, j’ai sillonné les routes, j’ai monté le chapiteau, j’ai
démonté le chapiteau, j’ai découvert une famille improbable. Et le soir,
à la lueur d’une bougie, Clara s’habillait de nuances et Pedro me
racontait sa vie.
À propos
Je suis né à Stockel en région bruxelloise, et j’ai toujours été passionné d’écriture.
Mon métier ? Je suis spécialisé dans les techniques scénographiques et j’ai passé l’essentiel de ma carrière professionnelle dans le domaine du théâtre et de l’évènement.
Du théâtre, j’en connaissais donc la face cachée. Mais à trente ans, j’en découvre une toute autre, l’art dramatique ! J’ai écrit alors plusieurs pièces :
Le miroir magique (1986) que je mets en scène.
Requiem pour une sorcière (1987) mise en scène par Jacques Lippe
Les quatre saisons d’Amélie Granjart (1990) mise en scène par Francine Malmendier
Lulu, cour et jardin (1994) mise en scène par Lucien Froidebise qui pour cette occasion, remonta sur scène après plus de vingt ans d’absence pour fêter ses soixante ans de théâtre. Cette pièce sera créée sous le chapiteau des Baladins du Miroir.
Je me consacre aujourd’hui aux romans sans oublier ma famille et l’engagement citoyen.
J’y suis entré et Clara m’a accueilli. Clara, c’est le nom de la roulotte de Pedro. Avec elle, j’ai sillonné les routes, j’ai monté le chapiteau, j’ai
démonté le chapiteau, j’ai découvert une famille improbable. Et le soir,
à la lueur d’une bougie, Clara s’habillait de nuances et Pedro me
racontait sa vie.
Côte d'Azur, 1957.
La French Connection est en place.
Marc Chagall et Jean Cocteau peignent des anges.
Et Juliette de Chablis a disparu…
Che Guevara est mort.
Ils ont assassiné Martin Luther King et Robert Kennedy, la guerre du Vietnam n'en finit pas.
Scott Mackenzie chante « San Francisco ».
Et Paris explose.
8 décembre 2015, un attentat à Bruxelles, un char remplace les brocanteurs sur la place du Jeu de Balle, dans le parc Maximilien, les réfugiés campent comme ils peuvent.
C’est dans ce cadre-là que quelques Syriens chrétiens demandent l’accueil auprès de Victor Timmermans, curé doyen à l’église de Saint-Gilles.